Tout savoir sur la traduction

Quelques idées reçues sur la traduction…

1/ « C’est gratuit sur internet ».

Oui, c’est clair. Mais pour la qualité, internet ne vous garanti rien… Faites donc le test!

2/ « Pas besoin de passer par une agence, un freelance fera l’affaire ».

ça dépend de votre objectif. Si vous entreprenez de traduire votre communication d’entreprise, vous feriez mieux de contacter une agence qui regroupe toutes les compétences nécessaires à la gestion de projet: traduction, correction, relecture, mise en page, etc. Un seul traducteur freelance ne peut assumer à lui seul ces lourdes tâches.

3/ « Il me faudrait travailler toujours avec le même traducteur ».

Oui, c’est plutôt conseillé car ce dernier connaît à la perfection la spécificité de vos contenus et traduit toujours dans l’optique de garantir une cohérence d’ensemble. Chaque projet lui permet de constituer une base de données à laquelle il se réfère pour garantir la qualité et la rapidité de production des traductions.

4/ « Il vaut mieux faire relire la traduction par une autre agence pour garantir la qualité ».

Pas forcément. Cela vous ferait même sûrement perdre du temps et de l’argent, car à même niveau professionnel, les corrections ne seront certainement que stylistiques. Ceci  entraînerait probablement une absence de cohésion entre les diverses traductions soumises. Il faut toujours garder à l’esprit que la traduction n’est pas une science exacte et que le choix rédactionnel dépend pour grande partie de la sensibilité stylistique du traducteur.

5/ « J’ai des employés bilingues en interne, ils peuvent donc eux-même contrôler la qualité des traductions produites par mon agence ».

Là encore, ce n’est pas si simple. Le travail de relecture est un vrai métier qui nécessite de réelles compétences, tout à fait spécifiques. Une personne bilingue non spécialisée pourra tout au mieux vous donner un ressenti subjectif sur la production de l’agence.

6/ « Il faut renforcer le contrôle qualité ».

Plutôt que de réagir en aval, c’est d’abord en amont de la traduction que devrait commencer le processus qualité. Et cela dépend aussi de vous, et de la communication que vous établissez avec votre agence. Fournissez des textes sources clairs, lisibles et correctement rédigés, des informations contextuelles,  vos objectifs, les éventuels glossaires et guides stylistiques déjà existants, etc. La retranscription en langue étrangère n’en sera que meilleure.

7/ « Je ne veux pas entendre parler de traduction par la technologie! Quand on voit le résultat sur Google traduction… ».

Traduction automatique et traduction assistée par ordinateur, ce n’est pas la même chose. Les agences ne vous proposeront jamais de la traduction automatique. Elles se servent en revanche de certains logiciels pour optimiser le travail réalisé par l’être humain (création de bases de données, glossaires et lexiques d’entreprise, etc.). Ce support technologique est un gain de temps et d’argent considérable à la fois pour l’agence, mais aussi pour le porteur de projet.