5 erreurs interdites dans la traduction de contrats multiculturels

Le contrat de partenariat est un document juridique spécifique. Lorsqu’il lie deux parties aux cultures différentes, attention aux malentendus! Voici 5 choses à surveiller dans la traduction de votre contrat de partenariat.

5 erreurs interdites dans la traduction de contrats multiculturels

 

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Ignorer le protocole

Selon la manière de faire du business, les attentes envers le contenu et la fonction d’un contrat diffèrent. Ainsi, les Américains optent pour un contrat détaillé. C’est lui qui sera la référence en cas de situation nouvelle, il doit donc anticiper toutes les éventualités. Les Chinois ont au contraire tendance à bâtir un partenariat sur une relation personnelle de confiance. Ils préféreront ainsi que le contrat ne contienne que quelques principes généraux. Trop de détails peuvent être perçus comme un manque de confiance de la part de leur
partenaire. Sans altérer le contenu, le traducteur doit donc adapter le ton pour ne froisser les sensibilités de personne…

Utilisation du papier calque

Un contrat permet entre autres aux différents partenaires de se protéger en cas de litige. Mais certaines solutions juridiques valables dans un pays ne sont pas admises dans un autre… La traduction à l’identique de certaines clauses
peut engendrer de grosses déconvenues. Le lecteur de la traduction pourrait penser qu’une solution est possible dans son pays – alors qu’en fait, elle est invalide aux yeux de l’appareil judiciaire en question! Pas de calques en
traduction juridique, donc…

Refuser d’apprendre les règles du jeu

La rédaction même d’un contrat est soumise à des lois. Celles-ci sont différentes d’un pays à l’autre…. Aux Pays-Bas par exemple, le Code Civil stipule que toute clause non claire et compréhensive est nulle. A chaque culture sa conception du droit…. Attention donc à la transposition des tournures de phrases volontairement obscures dans la langue source!

Les vrais faux amis

Ces petits mots traîtres bien connus ne font pas exception dans le droit! Tous les termes qui se ressemblent d’une langue à l’autre n’ont pas nécessairement le même sens. Par exemple, les mots anglais «damages», «compensation» ou
«indemnity» paraissent transparents. Dans les faits, ils ne recoupent pourtant qu’imparfaitement les réalités du droit français…

Manquer de style

Le style de rédaction d’un contrat change selon les pays. Malgré son aspect formel, le contrat est représentatif de la «business culture» de son pays. Le style de rédaction est donc porteur de ces particularités. Le traducteur doit adapter légèrement le style, pour que l’intention derrière une clause soit traduite aussi fidèlement que les faits et conditions qu’elle contient.

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